Le Bracelet de jade

1640, treizième année du règne de l’empereur Chongzhen.
Alors que la dynastie au pouvoir affronte de nombreux remous, la jeune Chen se rend, accompagnée de son père, à la Foire des Lanternes sur le Mont du Dragon. Émerveillée par mille lumières, Chen s’égare et se retrouve face à un étrange commerçant qui lui offre un magnifique bracelet de jade.
Le bijou exerce bientôt une grande fascination sur la jeune fille, au point que ses rêves la projettent dans un monde étrange.
Au fil des discussions avec son père, ancien haut-fonctionnaire qui se consacre désormais aux arts de la calligraphie et des jardins, Chen découvrira que les chemins de la vie se tissent autant dans les aspérités du vide que dans les souffles suspendus du temps.

La presse en parle :

“Baignée de références à la philosophie et la tradition littéraire chinoise, références qui ne l’alourdissent en rien, cette novella touchante et empreinte de sérénité, malgré le tumulte qui entoure la relation entre la jeune Chen et son père, nous invite à chercher en creux ce qui fait la beauté de l’existence, son éternité.”
Elbakin.net

“Originale, belle, audacieuse, mais exigeante tant en termes de connaissances en physique qu’en philosophie et traditions chinoises, Le Bracelet de jade, premier texte de l’auteure traduit en français, est impressionnant de maitrise et de qualité. À découvrir assurément !”
La Horde du Contrevent

“J’ai été immédiatement happé par la finesse du Bracelet de jade. Par sa richesse et la profondeur de sa pensée, tout cela habillé dans une prose fluide. Un coup de coeur de rentrée, magnifié par la couverture (et l’identité graphique) concoctée par Anouck Faure. Quelle beauté !”
Le Nocher des Livres

“Derrière la poésie de ses mots et la beauté des lieux décrits, la plume de Mu Ming se veut aussi très engagée face à la tyrannie. C’est une histoire touchante qui lie un père et sa fille. Elle est remplie de nostalgie et de tendresse ainsi que d’une pointe de désenchantement.”
Fantasy à la carte

“[Le] projet littéraire de Mu Ming, […] pourrait se décrire de façon imparfaite comme du taopunk – une sorte de steampunk à la chinoise, située dans un passé où la science nourrissant le novum central ne serait pas la vapeur, mais un usage du vide anticipant la relativité einsteinienne.”
Weirdaholic

“D’une plume vive, limpide et à la fois d’une richesse folle grâce à la traduction de Gwenaël Gaffric, le récit est d’une qualité exceptionnelle, d’une modernité totale. le jardin devient allégorie de l’âme et de son équilibre à travers l’univers. […] D’une main de maître, Mu Ming cartographie l’existence à travers le temps, la fatalité et la destinée avec une finesse, une poésie et une fulgurance qui laisseront leur empreinte sur moi.”
Laurence Orsini

“Mu Ming nous offre, par ses mots mais aussi par ses silences, une porte vers un monde à découvrir. Et c’est épatant. Il se dégage de ce récit un sentiment d’apaisement rare, suspendant le temps durant une lecture aux richesses folles pour un si petit format.”
Les critiques de Yuyine

“Grâce à une introduction fort utile, on apprend à dénicher dans le texte les citations et concepts utilisés, pour se prendre dans un récit dont la concision n’a d’égale que la richesse intérieure en forme de ruban de Möbius : « L’espace peut se déployer et se courber à volonté, et les mondes peuvent se contenir les uns les autres. » Même sans connaître le chinois, on ne peut qu’apprécier le travail minutieux de Gwennaël, qui en français propose un style coulant, fluide, telle l’eau qui s’écoule dans le jardin, gardant pourtant en ligne de mire les imposantes montagnes qui l’entourent. On serait d’ailleurs tenté de dire, pour citer Mu Ming dans un contexte différent, que ce style, pilier de l’ouvrage, est « aussi doux et inébranlable que le jade.”
Florent Tonellio

Les libraires en parlent :

“Aux amateurs de peinture traditionnelle chinoise, aviez-vous déjà réfléchi au vide constitutif de toute chose ? Si la matière est définie, c’est que le vide la révèle… Le vide, voilà l’un des secrets des grands maîtres chinois, présent en philosophie, en peinture. […] Métaphysique et beaux arts produisent dans ce récit une alliance pleine de fraicheur.”
Librairie Le Phénix

“Entre conte de sagesse chinois et récit de Fantasy, Mu Ming nous sert un livre qui, malgré sa centaine de pages, vous demandera d’aller jusqu’à la dernière goutte pour apprécier toute la construction de son histoire et l’ampleur qui était cachée dans les replis de son monde.”
Librairie Les Quatre Chemins

“Un conte classique chinois autour de la sculpture du jade, de l’art des jardins et de la dévotion d’un père à l’équilibre politique de son pays tout autant qu’a sa fille. Une histoire profonde et philosophique !”
Librairie Le Divan

“Très beau texte, très poétique servi par une belle plume.”
Fnac Paris – Saint-Lazare

“Entre récit traditionnel et conte philosophique chinois teinté de science-fiction, Mu Ming tisse une histoire de lieu et de temps. […] Un récit où le plein et le vide s’équilibrent pour bousculer nos croyances et perspectives.”
Librairie Le Silence de la Mer

“Une histoire poétique, aussi merveilleuse que sa couverture !”
Librairie-Café La Tanière

4,999,90

Description

Rabats.

112 pages.

Informations complémentaires

Poids
0,13 kg
Dimensions
12 × 18 × 0,9 cm
Editions

Papier, Numérique

ISBN (papier)

978-2-494665-34-7

ISBN (numérique)

978-2-494665-35-4