Description
Vernis sélectif.
Marque-Page inséré dans le livre.
256 pages.
Sortie : 3 février 2023.
Merveille architecturale élancée vers le ciel, Roche-Étoile a connu la splendeur et la chute. La cité sainte de la déesse sans visage est maudite, réduite à l’état de nécropole brumeuse depuis que les eaux de son lac et de ses puits se sont changées en poison mortel.
Sept ans après le drame, l’archiviste d’un royaume voisin se rend dans la cité défunte avec pour mission de reconstituer le récit de ses derniers jours. Mais il s’avère bientôt que Roche-Étoile abrite encore quelques âmes, en proie à la souffrance ou à la folie, et celles-ci ne semblent guère disposées à livrer leur témoignage.
Un jeu de dupe commence alors entre l’archiviste et ces esprits égarés, dans les dédales d’une cité où la vérité ne se dessine qu’en clair-obscur, où dénouer la toile du passé peut devenir un piège cruel.
Les auteurs en parlent :
“Anouck Faure tresse un livre-monde, un univers dérangeant, poétique, désincarné et pourtant dense. Magie de sa plume, redoublée de ses superbes gravures, l’ouvrage sera une valeur sûre de l’année 2023.”
Jérôme Akkouche, auteur de Lupus in Fabula.
“J’ai lu La Cité diaphane en juin dernier dans une version non terminée et c’était déjà le venin et la déliquescence qui parlent à mon âme.”
Floriane Soulas, autrice de Les Oubliés de l’amas, lauréat du Prix Utupiales 2022.
“Un roman comme un sortilège, une écriture envoûtante qui déploie une incroyable profondeur de légendes et de mythes, un univers d’une beauté à la fois infiniment poétique, sombre et cruelle. Une histoire toujours surprenante et toujours d’une cohérence parfaite, qui n’hésite pas à tresser ensemble la fantasy et l’horreur. L’étrange impression, enfin, de lire un classique qui a existé de tout temps, et de découvrir une voix nouvelle et singulière.”
Estelle Faye, autrice lauréate de nombreux prix (Elbakin.net, Imaginales, ActuSF de l’uchronie, Rosny Aîné de la nouvelle, etc.)
“La Cité diaphane est un bijou noir. (…) Un roman à la plume flamboyante, aussi sombre que fascinant. Un roman qui prouve que peu importe l’outil qu’elle a entre les mains, plume ou crayon, pointe sèche ou lame de rasoir, Anouck Faure crée des œuvres aussi magnifiques qu’inoubliables.”
Magali Lefebvre, autrice de la série “Bérénice Libretti”.
“Roman surprenant, où l’évocation fantastique s’appuie sur un travail littéraire ambitieux et accompli, La Cité diaphane est une enthousiasmante mascarade où les ambitions humaines rencontrent les plus troublants mystères de l’univers. Une grande réussite !
Camille Leboulanger, auteur du roman Le Chien du Forgeron.
“L’âme d’artiste d’Anouck se ressent à travers sa plume, tout autant que par ses gravures qui agrandissent la lecture de ce récit. Une œuvre magistrale à lire de toute urgence !”
Maude Elyther, autrice de Le Bois écarlate.
“La Cité diaphane est un roman de fantasy aux accents gothiques, d’une poésie infinie et d’une mélancolie toute aussi belle. Décors inoubliables, créatures monstrueuses, combats épiques, lumière insoutenable, la descente dans les entrailles d’une Cité marquée par sa propre légende ne vous laissera pas indifférent.”
Siècle Vaëlban, autrice de Etoile et Petit Matin.
“Anouk Faure a su planter de décor, on est dans un lieu qui est sensé être abandonné à cause d’une malédiction qui a empoisonné l’eau. (…) Cela m’a fait penser aux contes gothiques avec des personnages cachés derrière de mystérieuses portes, des entrées dérobées, un palais en déliquescence. La frontière entre raison et déraison voire de folie est bien mince.”
L’Atelier de Ramettes
La presse en parle :
“Anouck Faure s’affirme déjà comme une signature d’un Imaginaire insolite et envoûtant qui ne demande qu’à s’épanouir.”
Fantasy à la carte
“La Cité diaphane est un premier roman de fantasy gothique grandiose où la plume acérée et poétique d’Anouck Faure tisse une ambiance envoûtante magistrale. L’intrigue, pleine de surprise, est à la fois conte tragique intime et mythe universel où mystères et révélations nous emmènent au cœur d’une cité fascinante. ”
Yuyine
” La Cité diaphane est le premier roman d’une autrice à suivre absolument. Anouck Faure nous emporte dans un récit de fantasy gothique à la fois onirique, sombre et émouvant. (…) Vous l’aurez compris “La Cité diaphane” est le coup de cœur de ce début d’année !”
Scifi-universe
“La Cité diaphane n’en reste pas moins une escapade lugubre et torturée qui ose plonger au fond du gouffre. Anouck Faure possède indéniablement une plume saisissante de noirceur qui pourrait bien nous surprendre à l’avenir.”
Just a word
“Pour son premier récit, Anouck Faure vise aussi haut que les tours de Roche-Étoile avec une plume riche, dont la narration passe surtout par l’environnement, à l’image des jeux Dark Souls, dont les secrets enrobant l’univers ne se découvrent pas aux premiers venus.”
Syfantasy
“Anouck Faure est définitivement une autrice à découvrir et à suivre de très près.”
Fourbistetologie
“Tourner la première page de ce récit de dark fantasy, c’est plonger dans un univers qui semble enchanteur de prime abord, mais qui recèle un monde envoûtant de charmes et malédictions dans ses profondeurs, peuplé de créatures étranges, de sortilèges et démons qui guettent aux abords d’un sanctuaire étonnant…”
Read to be wild
“Sombre, cruel, tragique, explorant les plus obscurs recoins de la psyché humaine, exposant les pires maux nés de sa foi et de son ambition, La Cité diaphane est sans conteste le joyau de ce début d’année.”
Yozone
“La Cité diaphane est un premier roman impressionnant de maîtrise littéraire et narrative. J’y vois aussi de vrais accents lovecraftiens. Anouck Faure : retenez ce nom !”
Stéphanie Nicot
“La Cité diaphane est un roman déroutant qui baigne dans une ambiance glauque saisissante et met en scène l’arrivée d’un archiviste en quête de réponses dans une cité morte et maudite depuis des années.”
Le bibliocosme
“Il y a un premier retournement de situation qui rend ce roman extraordinaire et assez fou. Un puzzle qui se constitue petit à petit. “.
Memo’art d’Adrien
“La Cité diaphane est ainsi un roman particulier, oscillant entre le conte noir et la fantasy gothique. Anouck Faure a une plume envoutante et un sens de l’esthétique superbe.”
Au pays des cave trolls
“Un premier roman aux allures de classique des littératures de l’imaginaire, doté d’une plume superbe et de très belles illustrations (signées également de l’autrice Anouck Faure). Un envoûtement. ”
Love in books
“Anouck Faure signe son tout premier roman, dans une veine de dark fantasy. Elle y révèle une écriture soignée, ample, qui enveloppe le lecteur dans un récit aux pourtours oniriques. Les amateurs de contes gothiques suivront avec délice ces péripéties dans une atmosphère sombre, très sombre même, rehaussée par les belles illustrations originales de l’autrice.”
Philippe Gestin, Le Trégor.
“La Cité diaphane apparaît comme un récit maîtrisé, référencé mais aussi personnel, astucieux dans sa narration et empreint d’une plume poétique. La première pierre d’un édifice littéraire que l’on espère majestueux.”
Culture vs news
Les libraires en parlent :
“Un récit de fantasy poétique et envoutant, à la fois très sombre et hypnotisant. (…) Un huis clos parfaitement maîtrisé, à l’ambiance magnétique et aux rebondissements inattendus. Une quête de vérité entourée d’un brouillard fait de noirceur…”
Salomé, librairie Le Tramway (Lyon).
“Très très bon roman. J’ai été happée par l’écriture et l’originalité de ce texte”
Frédérique, librairie Mots et Images (Guingamp) ;
“Le premier roman d’Anouck Faure nous transporte dans un récit fantastique d’un genre nouveau, sombre et surprenant”
Cyril de La Promesse de l’aube (Autun)
“Une soirée merveilleuse et envoûtante dans l’univers de Fantasy poétique et gothique.”
Loup, Librairie L’Antre-Monde (Compiègne).
“Reste à savoir si VOUS arriverez à résister à ce récit qui oscille maléficieusement entre conte médiéval fantastique et roman gothique…”
Michaël, librairie Dialogues (Brest)
” De la fantasy sombre, une très belle plume, et des illustrations de talent.”
Sandrine, Libellune (Redon)
“Si vous aimez la fantasy, si vous aimez les ambiances sombres et qui attisent votre curiosité, c’est LE livre qu’il vous faut ! Lâchez toute lecture en cours et précipitez vous à Roche-Étoile.”
Hugo, Librairie Les Quatre Chemins (Lille).
“Un petit chef d’œuvre de fantasy gothique.”
Roméo, Au vent des mots (Lorient).
“Entre contre tragique et récit gothique, La Cité diaphane est un roman sombre et fascinant !”
Mathilde, Librairie JMS (Fontenay-le-Fleury)
“Magistral et envoûtant, un indispensable ! La Cité diaphane est un noir diamant brut, hanté par son ambiance macabre, où le tragique est sublimé. Ce premier roman est une perle sombre qui ravira votre âme.”
Annabel, Fnac La Roche-sur-Yon.
“Roman de fantasy avec une touche de gothique écrit d’une plume magnifique, ne passez pas à côté, une vraie pépite !”
Christophe, Fnac Saint-Lazare (Paris).
“Merveilleux”.
Jenny, Librairie Quartier latin (Saint-Étienne).
“Mystères, trahisons, malédictions et personnages énigmatiques peuplent ce roman taillé comme un bijou d’orfèvre.”
Thomas, Librairie Le Pavé du Canal (Montigny Le Bretonneux)
“Un roman aussi envoûtant que terrible, où les trahisons se répondent, où l’histoire se découvre comme un labyrinthe brumeux.”
Julie, Librairie L’Embellie (Paris)
“Un grand coup de cœur de ce début d’année.”
Librairie Georges
“La Cité diaphane est un premier roman magistral à l’atmosphère sombre et gothique, où la voix unique et captivante de Anouck Faure nous entraîne dans une cité hantée par des ombres torturées. On y explore aussi bien les tréfonds d’une mystérieuse civilisation à l’agonie que ceux de l’âme humaine, afin de lever le voile sur les véritables origines d’une malédiction dévastatrice.”
Marianne, Librairie La Fontaine Luberon
“Vraiment une super lecture, avec en plus des gravures de toute beauté pour l’illustrer. Elle prend du temps à démarrer, mais une fois lancée, on ne l’arrête plus jusqu’au climax, qui laisse clairement un goût de reviens-y… À conseiller aux lecteurs en mal de mystère lovecraftien et de cauchemars enfouis.” Evie Library
” Pour moi, La Cité diaphane fait partie de ces textes un peu magiques. Il se passe quelque chose, d’assez inexplicable, tu rentres dedans littéralement. Je les appelle les “livres à voyager”, parce que “où que vous soyez, ils vous emmène ailleurs”. Je me suis retrouvée complètement immergée dans cette cité, dans cette ambiance. Et j’ai adoré que l’autrice joue des codes de la chevalerie, j’ai adoré qu’il n’y ait pas de héros à proprement parler, j’ai adoré la construction du livre, bref, je crois pouvoir dire que j’ai adoré. ”
Alexandra, Librairie Arthaud
10,99€ – 21,90€
Vernis sélectif.
Marque-Page inséré dans le livre.
256 pages.
978-2-492403-69-9
978-2-492403-70-5